Le festival Livresse ne serait pas aussi incontournable sans sa librairie éphémère! Bandes dessinées, romans graphiques, romans, essais, livres d’art... Plus de 1000 références vous y attendent, ainsi qu'une exposition de Jango Jim, illustrateur anversois à l'univers ultra-pop et psychédélique, célèbre pour ses collaborations avec The Guardian, The Washington Post ou encore Vice.
De jeunes photographes de l'ESA Saint-Luc de Liège en micro-résidence à Charleroi, chaleureusement accueillis par le Vecteur. Quelques jours pour aborder un territoire. Dégager des axes de recherche. Chercher apprendre gratter scruter regarder sentir. Prendre et donner. Marcher. S'interroger.
Défi essai expérimentation. Au final, une expo et un fanzine, sans doute unique, collaboration de pratiques et regards évidemment variés.
Duo liégeois, Owly et Orchid sont deux DJs passionnés de musique électronique. Leurs sélections sonores vont de la techno hypnotique à de la trance gallopante en passant par du break entraînant. A travers leurs sets, ils cherchent à transmettre une énergie qui leur est propre afin de faire voyager l'auditeur dans leurs univers.
Le studio Baraka Grafika est un studio de bande dessinée actif depuis 2021. Composé de huit artistes, il est né de la rencontre entre des militant·es de la Voix des Sans-Papiers Bruxelles (VSP) et de jeunes auteur·ices émergent·es bruxelloix·ses. Le collectif construit un récit en bandes dessinées à plusieurs mains et d'après les témoignages de ses membres sans-papiers.
Le journal Turbulent est un projet d'édition d'une partie de ce récit sous la forme d'un journal gratuit largement distribué. Imprimé en 6000 exemplaires, il témoigne des difficultés du parcours des demandeurs et demandeuses d'asiles aux premiers temps de leur arrivée sur le continent européen et à Bruxelles.
Étudiantes en Master d'illustration à l'Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles, Maxime Lombard, Odile Hennebert et Maud Martin-Bachy ont proposé pour leur jury — après une résidence au Vecteur — une bande dessinée collective autour du terril du Martinet. Fascinées par ce lieu riche en récits, où se croisent l'histoire de la mine, les luttes sociales et les enjeux écologiques et fonciers, elles ont visité le site et interrogé le comité de quartier, actif depuis les années 70 pour la préservation des terrils.
Depuis 2022, Sarah Abd Ali performe comme musicienne et DJ en Belgique et en France. En 2023, elle sort son premier single sur le label Why Keith Dropped The S, puis rejoint le collectif Optimistic Festival. Caméléon festif, Sarah aime mélanger les genres: electronica, expérimental, dance, breakbeat, house, reggaeton, baile funk. Elle travaille sur son premier EP, prévu pour 2024.